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 ÉRASME JOSÉPHINE AMIEL; Taylor Warren « À bien des égards, la tâche du critique est aisée »

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β Érasme Amiel
β Érasme Amiel

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Date d'inscription : 01/02/2011
Ou habitez vous ? : Brooklyn, NY.
Job du personnage : critique gastronomique.

ÉRASME JOSÉPHINE AMIEL; Taylor Warren « À bien des égards, la tâche du critique est aisée » Empty
MessageSujet: ÉRASME JOSÉPHINE AMIEL; Taylor Warren « À bien des égards, la tâche du critique est aisée »   ÉRASME JOSÉPHINE AMIEL; Taylor Warren « À bien des égards, la tâche du critique est aisée » EmptyMer 2 Fév - 10:11

Érasme
ÉRASME J. AMIEL
Est née à Paris, France, le 19 mai
Est âgée de 23 ans
Interview
J'aimais New York oui, comme on aime une bonne viande rouge. Parce que sur le coup, c'est toujours bon. Parce qu'on a besoin, vitalement besoin. Sauf les végétariens, qui sont d'étranges super-héros, pour moi. Mais New-York est bon vitale, même si on peut parfois en saturer. J'aimais New-York comme le pays de la liberté. On dit que le rêve américain n'existe plus, mais moi j'y crois encore absolument. Si je traverse la ville de long en large à vélo, j'ai l'impression de vivre et de traverser le monde. À Paris, j'avais plutôt l'impression de traverser le plus beau des musées. Car oui, je viens de l'autre capitale. Aussi connue et si différente. Apparemment, j'ai bien fait de quitter le petite musée français. Oui, cette amertume dans ma voix, vous la sentez n'est-ce-pas ? Je n'aime plus New-York, je m'y sens perdue, je n'ai plus mes repères, rien n'est comme avant. Et c'est ville que j'aimais pour la douce sécurité qu'elle dégageait m'effraie. Quand à Paris, il paraît que c'est pire. Il paraît que je n'aurais pas même le droit d'y vivre. Mais en soi, oui, même ce New-York là pourrait me plaire. Après tout on y retrouve le même Central Park et les mêmes gratte-ciel qui vous font sentir si petite et si puissante à la fois. J'essaie de me faire à ce New-York là, quand j'ai essayé de me faire au mien lorsque j'y ai débarquée. J'ai réussi une fois, pourquoi pas deux ?
Si seulement les membres de ma famille formaient un tout.. Je pourrais faire une moyenne d'ensemble, évaluer la globalité et répondre que oui. Mais plus hétérogène, hétéroclite et dispersé que ma famille, on fait difficilement. Et quand je dis dispersé j'entends non seulement avoir un cousin à Tombouctou et un autre à Ouagadougou, une mère à Saint-Pierre-et-Miquelons, un père au Togo, mais j'entends aussi dispersé dans leurs caractères, leurs relations, leurs familles, tout bêtement. Si ma famille, ce sont ces deux frères et soeurs plus âgés que moi qui m'ont élevé à la sueur de leur front jusqu'à mes seize ans, si ma famille ce sont ma sœur Jules et mon frère Lucas, alors oui j'aime ma famille. Je l'admire, je l'idolâtre. Et je m'arracherai le cœur pour pouvoir les appeler plus souvent aujourd'hui. Mais la famille, m'est avis que c'est aussi maman-en-Antarctique, papa-au-Togo et ainsi de suite. Eux, comment ne pas les aimer hein ? Je bénéficiais de visites surprises pour mes anniversaires et d'énormes cadeaux de temps à autres, accompagnés de maximes soi-disant sages et matures. "voilà la maison de Pollypocket pour tes cinq ans ma petite chouette. Surtout ne te laisse jamais marcher sur les pieds et n'oublie pas de rêver." Adorable, tout à fait adorable. Et d'années en années, d'étonnantes variantes. Des barbies, et une phrase sur les études et l'éducation. Une robe de marque et un proverbe chinois. En fait, c'est idiot mais figurez-vous que je les haïssais. Papa-maman, ce furent pour moi des figures fantomatiques qui déchiraient mon petit cœur. Jules et Lucas me parlaient d'eux. Pourquoi moi je n'avais pas eu le droit à eux ? J'étais verte de rage. Aujourd'hui, j'ai un psy pour parler de tout ça. Alors je vais vous éviter la synthèse de mes analyses et me comporter en new-yorkaise raisonnable : ma famille ? Évidemment que je l'aime, voyons. Oui, la new-yorkaise a quelque chose en elle de l'américaine des années 50.
Tiens, à force de voir un psy je finis par anticiper les questions, je ne sais pas si vous avez remarqué ? Parce que mon enfance, je viens de vous en toucher deux mots. J'avais deux ans quand ma mère est partie, deux ans et demi quand mon père est parti ailleurs. Mais loin de moi l'idée de vous assommer avec une enfance traumatisée et traumatisante entre les bras d'une voisine ressemblant à Cruella. J'avais Jules et Lucas. Soeur et frère. Maman-de-remplacement et papa-de-remplacement. À l'époque ils avaient respectivement 18 et 15 ans. Alors oui, je les embêtais pas mal lorsqu'il fallait réviser, ou organiser des soirées, ou partir en auberge de jeunesse avec leurs amis. Mais avec mes trois quenottes et mes joues rebondies et roses, je ne saisissais pas vraiment. Ils avaient autre chose à faire que de veiller sur moi ? Ah bon, dernière nouvelle. En fait, je nageais en plein bonheur. Ils s'occupaient bien de moi. Ils avaient plein de petits billets verts qui m'ouvraient la voie aux sucettes, aux livres et aux cassettes. J'étais aimée, protégée, choyée. Tout ce dont un gamin a besoin hein ? Les voisins ne nous aimaient pas trop. Du moins ils ne cessaient de parler à tort et à travers. À l'époque, je pensais qu'ils ne comprenaient rien. En fait, ils comprenaient tout. L'abandon, la situation honteuse et dangereuse, la précarité de notre stabilité.. Tout ça, ils l'avaient intégré. Sauf peut-être le véritable amour de Jules et Lucas à mon endroit. Je devenais devenir une princesse, ils en avaient décidé ainsi. J'ai regardé tous les Walt Disney et j'ai lu plein de livres. Enfin, j'ai lu les images quoi. Dès que Lucas se prenait une horrible note à l'école, il m'achetait un livre. En compensation. S'il était bête, il fallait que je sois intelligente. Stratégie qui, aussi étonnant que cela puisse paraître, a plutôt bien fonctionné. Parce que Lucas en avait beaucoup, des mauvaises notes.
Vous savez ces parents qui rêvent d'une adolescente parfaite ? Une enfant qui ne passe pas par les crises habituelles, qui reste sage et tranquille ? On ne vous le dit pas toujours, mais il y en a plus qu'on veut bien le croire, des parents comme ça. Et moi, ils n'étaient pas là. Les seuls parents qui auraient pu jouir d'un tel spectacle étaient à des kilomètres. J'étais première de ma classe, mes maîtresses me chérissaient et me faisaient réciter des poésies. Je me souviens. J'avais13 ans, Lucas et Jules avaient pris la voiture pour venir me chercher le lendemain d'une soirée pyjama. Il était 11:00 du matin. J'ai vu la voiture arriver par la fenêtre. J'ai couru. Ils étaient là. Des cernes noirs s'étalant sous leurs yeux. Une haleine à faire peur. Et ma Jules avait un bleu au visage. Ils riaient. "On a bien failli s'exploser, mais on avait rendez-vous avec toi". Ils étaient comme ça. Sauf que j'avais eu peur. Si peur que j'ai voulu ne jamais leur faire de mal. J'avais compris les sacrifices qu'ils avaient fait pour moi. J'en fis pour eux. J'étais quatre-en-un : première de classe, soeur modèle et dévouée, cuisinière attentionnée et régulière, amie fidèle. Jules et Lucas jouissaient enfin du repos mérité. Enfin, si l'on excepte le copain de Jules qui lui en faisait voir de toutes les couleurs parce qu'il voulait un bébé le plus vite possible. Et les études de Lucas qui déconnaient un peu trop. Mais au moins, ils n'avaient pas à gérer bébé Érasme. Je traînais avec les loosers un peu coincés du collège. Je ne touchais ni à l'alcool ni à la drogue. J'ai failli être étiquetée à vie inconnue absolue. Mais j'étais vraiment excellente en cours. Et j'étais vraiment jolie. Les garçons sont sortis avec moi. J'ai eu une adolescence différente, et radieuse.
Je suis née en France. J'ai fêté mes 14 ans chez Senderens. Ça ne vous dit rien ? C'est un endroit dans le 8ème arrondissement parisien où l'on peut, entre autres, déguster une Fine dacquoise au poivre de Séchouan, marmelade d'orange et glace au gingembre. Ou bien plus simplement un Dos de saumon snacké, fraîcheur de concombre à la menthe. Ce jour-là, je ne m'en suis jamais remise. Les saveurs éclataient dans ma bouche. Un bonheur. Le dessert qui m'a déçu, mais je n'ai rien dit. Moi qui avais l'habitude de cuisiner pour "la famille", j'ai eu envie de goûter à tout. Et de donner mon avis. Ça tombait bien : j'étais a priori partie pour faire du journalisme. Des magazines ont publié mes critiques. Avant de partir à New-York, je stagnais. Ici, les critiques gastronomiques sont encore plus rares qu'à Paris. Évidemment, entre un Double Cheese et un Big Mac, hein.. Mais bizarrement, nous sommes appréciés. Magazines spécialisés, sites internets, entretiens avec des restaurateurs.. Je ne me prélasse pas vraiment. Du moins, je ne me prélassais pas. Parce qu'il y avait toujours un rédacteur prêt à m'offrir une chance. J'allais même fonder mon propre guide. Et me voilà débarquée dans un New-York où je dois tout recommencer à zéro ! J'ai les nerfs en pelote, je ne supporte pas de devoir faire comme si j'avais dix-neuf ans et que je débarquais. Quitte à recommencer, autant recommencer autre chose. On vient de me trouver une jolie place au Doppelglober, je compte bien m'y faire un nom.
Devenir un super-héros ? Accéder au poste de critique suprême et dans tous les domaines ? Créer un magazine à moi toute seule ? Non, en vrai je n'ai pas d'aspiration précise et définitive, d'autant que je fonctionne par échelons de buts. Je viens d'inventer l'expression donc si vous ne voyez pas de quoi il s'agit, don't freak out : j'ai simplement l'habitude de me fixer des buts atteignables et proches. Passer ce concours. Partir à New-York. Trouver un appart'. Trouver une horloge vintage pour mon salon. Ce genre de choses. Le prochain sur la liste ? Enfin me faire une véritable culture cinématographique. Et accrocher avec des pinces à linge les photos prises en Inde il y a plusieurs mois déjà. Donc non, je ne suis pas mon petit bonhomme de chemin vers une étoile finale qui m'appellerait à elle. Connais pas. Mais j'avance comme ça. Il n'y a qu'ainsi que je n'abandonne ou n'oublie pas. Je vous prête ma technique, si vous le souhaitez. Pour les anniversaires à souhaiter, pour les paperasses administratifs, ce n'est pas toujours une recette miracle. Parce qu'il ne s'agit pas de buts vraiment importants. Mais pour tous les projets qu'on amasse et qu'on constitue à longueur de journée, selon les adresses qu'on nous donne, les conseils qu'on lit, pour tout ça, ça fonctionne. Si les gens qui travaillent avec moi ont parfois l'impression que je suis une fille organisée, c'est pas exactement juste. En réalité, je n'ai jamais rien en tête. Qu'une seule chose ou deux. Dont je viens vite à bout. Qui veut aller loin ménage sa monture, disait la vieille voisine Cruella de notre rue parisienne. Je me demande ce qu'elle est devenue. En réalité, mon prochain échelon de but est d'enfin accepter de vivre dans ce nouveau monde.
Je suis déboussolée, et je déteste être déboussolée ainsi. Je perds pied. Et je déteste ça, aussi. Je suis une fille bien dans ses baskets, droite, sûre d'elle. Et là, je nage en pleine confusion. Plus d'immeuble, du moins plus exactement le mien, plus de boulot, impossible de remettre la main sur mes collègues.. Comment voulez-vous que je réagisse ? Seulement, comme il semble s'agir d'une révolution monstrueuse, j'essaie de voir plus loin que le bout de mon nez. La population a doublée. C'est le plus grand test que la Terre n'ait jamais subie. Le plus grand défi. Mon-Dieu-auquel-je-ne-crois-plus-depuis-mes-deux-ans-et-demi, faîtes que l'Humanité gagne. Faîtes que rien ne se finisse dans le sang, que les politiques réalisent le parti qu'ils doivent prendre, et que les gens cessent de se considérer comme des bêtes curieuses les uns des autres. Damnés scientifiques. N'ont-ils pas vu que ce n'était pas du tout le moment pour ce genre d'expérience ?
Elle est comme moi. Tellement comme moi. Physiquement, bien sûr. Et j'imagine bien que ce n'est pas un scoop pour vous. Mais voilà. J'ai appris toute cette histoire, j'ai vu les doppelgängers de mes amis, je trouvais ça dingue, hilarant, ce que vous voulez. Mais se retrouver face au sien, c'est une autre paire de manche. J'étais au téléphone avec Jules quand Érasme, l'autre, est arrivée en face de moi dans la rue. Jules, je te laisse. Elle était là. Les yeux rouges. Les cheveux lâchés. Moi. Et si peu moi. Jules est vivante ? m'a-t-elle dit du tac au tac. J'ai ouvert de grands yeux. Évidemment ! Je n'avais pas réfléchi. J'ai croisé son regard à elle, et j'ai compris. Que me serait-il arrivé si Jules était morte ? Si cette matinée de mes treize ans, je n'avais pas décidé de devenir parfaite pour eux ? J'ai posé le regard vers le doppelgänger. Ce n'était pas moi. C'était tout sauf moi. Désaxée, sans repères, détruite. Voilà ce qu'il serait advenu de moi si j'avais perdu Jules. Voilà qui j'avais en face de moi. Un immense gouffre s'est ouvert en moi. Cette fille représente mon seul et unique cauchemar. Pour la première fois depuis longtemps, j'ai fui. Je ne l'ai pas revu depuis, puisque nous n'avons rien échangé que ces quelques paroles si lourdes de sens. Elle m'effraie. Elle me fait pitié. Et je ne me reconnais pas. Pour la première fois, encore, je me mets à la place de quelqu'un. Elle me touche comme personne ne me touche. Je ne veux pas la revoir. Et je sais pourtant que j'en ai irrémédiablement besoin.
Proof
ÉRASME JOSÉPHINE AMIEL; Taylor Warren « À bien des égards, la tâche du critique est aisée » 24nmmg9
Pots of beans and sausages will be simmering Saturday at Jimmy's No. 43, 43 East Seventh Street (Third Avenue) when more than a dozen chefs and amateurs battle in a cassoulet cook-off. From 1 to 4 p.m., there will be a tasting for $20. A panel of judges will name the winners, but attendees can also vote for their favorites. All the competitors use ingredients from the Greenmarkets and proceeds benefit Grown NYC, which sponsors the markets.
Doppelgänger
PRÉNOM(S) & NOM; ÉRASME/JOSÉPHINE AMIEL
DATE & LIEU DE NAISSANCE; 19 MAI, FRANCE
ÂGE; 23 ANS
SEPT TRAITS DE CARACTÈRE; /
CITATION QUI LUI CONVIENT; /
SON HISTOIRE;

RELATION AVEC VOTRE PERSONNAGE; α Érasme, c'est ce qu'elle serait peut-être devenue, si Jules et Lucas n'étaient pas morts. Elles ne se sont croisées qu'une fois. L'une sur la chemin d'un grand restaurant, voilée dans une robe semi-chic, semi-bohème. L'autre les yeux cerclés de noirs et le regard perdu. Elles se sont dévisagées. Elles ont au coeur des yeux cette même lueur d'intelligence, de curiosité et d'observation perspicace. Mais excepté cela, elles naviguent dans des eaux trop différentes. Elles ne vont cesser de s'en rendre compte, tout en réalisant qu'elle se complètement à la perfection. α Érasme est explosive et révolutionne le monde de la critique. Son double est explosif et fait sortir les gens hors de leur carapace. Les deux changent constamment d'humeur au quart-de-tour. Et les deux ont du refoulé en elle : α Érasme sait bien qu'elle doit se sortir de ses petits buts racornis et de sa vie trop parfaite pour être la fille si prometteuse et si différente qu'elle peut être. βÉrasme sait tout aussi bien qu'elle n'a pas à s'enfoncer dans la fuite et la nuit pour devenir quelqu'un. Les deux ont trouvé le miroir capable de leur renvoyer à la face toutes ces vérités. Elles ont peur l'une de l'autre, et cherchent tout de même le contact.
INDICATIONS SUPPLÉMENTAIRES Ce personnage est beaucoup plus qu'un simple scénario. Il n'est pas uniquement "important pour l'histoire de mon personnage", patin couffin, il est son double, soit la base même du contexte. Et de toute l'histoire de "mon" Érasme, que j'ai imaginé en fonction de cette relation. Donc en toute logique, j'attends une personne, une seule, qui interprétera mon personnage pour toute la vie (a) Et je parle sérieusement à ce sujet. Si une puis deux personnes abandonnent βÉrasme, je la retirerai et imaginerai qu'elle n'existe pas, qu'elle est morte dans son univers, qu'elle s'est tuée ou que sais-je x) Alors ne me faîtes pas ça, hein.
Mais du coup en contre-partie, j'accepte volontiers qu'on parle de l'histoire et de leur relation, étant absolument ouvert à ce sujet. Pour βÉrasme après l'accident et sa dégringolade aux Enfers, vous avez quasiment quartier libre, il suffit qu'on en discute. Pour leur relation, pareil, ça se négocie à deux. Évidemment l'histoire de l'enfance ne peut pas trop être modifiée, ça semble logique (a)
Pour l'avatar bah, héhé, logique qu'il ne soit pas négociable. Mais je parle de l'avatar tout de même pour évoquer une subtilité intéressante : Taylor Warren a des shoots assez sages (ceux que je porte en avatar, habituellement) et d'autres beaucoup moins (une Taylor sensuelle, avachie ou la clope au bec) Donc il faudrait qu'on se partage astucieusement les avatars et pas à l'aveugle, je compte sur vous !
Rien que sur la troisième page de son topic Bazzart, il y en a qui ne pourraient aller qu'à elle :
Spoiler:
Si vous comblez ces attentes, et simplement si vous aimez mon Doppelgänger, soyez béni(e) jusqu'à la fin des temps et plus encore. Et attendez-vous à un amour absolument grandissant et magnifique aussi longtemps que vous resterez à mes côtés =D
Player
PSEUDO OU PRÉNOM; regenbogen, pour l'instant.
ÂGE & NIVEAU SCOLAIRE; bah en voilà des questions !
COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM? via Bazzart ♥♥♥
ET POURQUOI VOUS ÊTRE INSCRIT? Pour le contexte. Pour les relations et les rp de dingues qu'un tel univers peut engendrer. Pour Doppel.

Dans le cas où mon personnage prenait une grande importance sur le forum et que je le quitte pour une raison ou une autre, je prendrais le temps de faire un ou quelques rp pour mettre en scène sa mort, voilà tout. Merci d'avance !
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