CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T

Constance
	CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD Est née à Washington, District of Columbia, le treize décembre Est âgée de 25 ans
On writing
Univers Bêta, Washington DC., 28 juin 2002 – 18h. – Georgie, ne fais pas ça. C’est le comble du mauvais goût. – Pourquoi ? – Ca ne te ressemble pas. Tu vaux mieux que ça, tu peux faire mieux que ça. L’adolescente assise devant la coiffeuse en bois clair se retourna. Ses yeux clairs étaient furieux, presque bordés de larmes. Ses longs cheveux blonds à moitié coiffés, esquisse d’un chignon à venir. – Qu’est-ce que tu en sais ? L’adulte derrière elle soupira. Elle avait le même menton volontaire, le même nez mutin et les mêmes yeux clairs, mais son regard était autrement plus froid. Glenn Fitzgerald était une excellente hôtesse et une cadre hors pair, mais ses talents de mère étaient depuis quelques temps mis à l’épreuve. – Tu risques beaucoup, en agissant de la sorte. Ta réputation … Georgie se redressa, dédaignant sa coiffeuse. Dans son regard gris, la fureur se mêlait à la tristesse. Leurs relations avaient toujours été cordiales, amicales presque à certaines périodes. Didactiques, c’était certain, mais Constance avait fini par ressembler de plus en plus à son père, rejetant parfois sa mère d’un seul bloc. Elle ne lui avait probablement jamais pardonné son indifférence, digne de la reine Elizabeth II, devant les nouvelles et les émois d’une famille entière. Elle avait toujours gardé en mémoire l’image de son frère aîné, pleurant presque dans un accès de rage, avant de claquer la porte de la maison pour aller s’abriter sous des cieux plus accueillants, sous d’autres latitudes. Il était revenu, bien sûr, mais il avait changé, semblant glacé depuis son cœur jusqu’à ses os, arborant le même sacro-saint éloignement envers toutes les petites misères du commun des mortels. Georgie, elle, était allée trop loin, encore et encore, franchissant en bondissant toutes les barrières qu’on avait pu lui imposer. Elle refusait de voir sa mère sous son jour adulte, et la peine qu’elle gardait toujours en elle d’être délaissée par un mari absent. Elle jeta un regard méprisant à sa mère et se glissa dans l’entrebâillement de la porte, dans un froufrou de soie blanche. – Je risquerais de devenir comme toi, Maman. Ce serait merveilleux, tu ne trouves pas ? Elle éclata de rire, en dévalant les escaliers. « Cette fille », c’était une fille cruelle, qui s’apprêtait à briser le cœur innocent d’un garçon, peu importe son nom, de la plus horrible des manières. Elle l’avait séduit, l’avait gardé, y avait implanté sa marque, et le laisserait se flétrir une fois qu’il serait certain qu’il serait à jamais capable de l’oublier. Elle était ainsi, pourtant, sachant se faire aimer jusqu’à la folie, impitoyable muse. Elle avait longuement réfléchi, pesé le pour et le contre, et puis la folie enfantine l’avait emporté. Glenn et Georgie se ressemblaient tellement, et étaient si différentes. L’adolescente avait depuis longtemps déniché dans le regard de sa mère l’étincelle de douleur, de culpabilité. Elle savait trop bien comment appuyer sur la corde sensible, glaçante d’indifférence, en rappelant à sa douce maman qu’elle n’aurait jamais dû s’entêter, et que cette enfant si joyeuse et jolie avait étouffé sa propre sœur, bébé dévorant toute la vie d’un fœtus trop fragile, jusqu’à ce que des jumelles, il ne reste plus qu’elle. Elle claqua la porte, faisant trembler les vitres. Puis, la voiture démarra dans un crissement de pneus. Univers Bêta, Washington DC., 29 juin 2002 – 6h. Une ombre se faufile sur le carrelage, la porte coulissante grince un peu. C’est du plastique, pas bon marché, mais on dit que rien n’est plus chic. Dehors, la rosée entache le jardin, et avec lui les traces de pieds mouillés sur les grandes dalles froides de la cuisine. Georgie lâcha son sac sur le canapé, et grimpa sur un tabouret, grelottante. Elle posa ses mains translucides sur le comptoir, et les observa un instant. Longues, fines. Exactement les mêmes que celles de sa mère. Elle releva ensuite la tête, regardant autour d’elle, et eut un soupir, comme une remontée de nausée, en apercevant les photos de famille, en ordre parfait sur le mur. Elle se sentait mal. Quelque part dans la maison, une sonnerie de réveil retentit – probablement celle de son frère, qui hantait son ancienne chambre en attendant de trouver un appartement. Il était six heures, et Constance sut brusquement quoi faire. Elle remonta l’escalier recouvert de moquette, tenant d’une main sa robe de bal détrempée et de l’autre s’agrippant à la rampe ; elle avançait comme une danseuse, sur la pointe des pieds. Une danseuse qu’elle avait longtemps été, avant de grandir trop brusquement et d’être brisée sur le coup, avant de retourner sur les planches. Une fois dans sa chambre, elle regarda autour d’elle. Georgie avait le plus grand mal à penser pratique, choyée comme elle l’avait été depuis son plus jeune âge. Toujours, des gens avaient pu prendre les décisions pour elle, sans que jamais elle n’y trouve à redire. Pourtant, elle avait eu une enfance heureuse. Depuis sa naissance, elle avait été une petite princesse, n’éclipsant cependant jamais son frère aîné. Ils étaient curieusement équilibrés, adorés par l’un et l’autre de leurs parents. Evidemment, George Fitzgerald avait été un père un peu distant, absorbé par son travail et sa vie. Pourtant, Georgie avait grandi heureuse, et sa mère ne l’avait jamais laissée sentir combien elle-même était insatisfaite de cette situation. En grandissant, la ressemblance entre les deux s’était accentuée. Glenn faisait confectionner des robes sur mesure, copies des siennes, pour sa cadette. Petit à petit, Nicolas et Constance devinrent des modèles réduits de leurs géniteurs. On inscrivit la petite dans la même pension à laquelle sa mère était allée. Quand elle avait atteint l’adolescence, Constance avait commencé à se détacher de sa mère si chérie. Elle avait beau l’adorer et être flattée de lui ressembler, elle avait tellement peur de voir un jour son beau visage se crisper en parlant d’elle, comme elle le faisait en parlant des sans-abris ou des prostituées. Et puis, finalement, elle se réveilla un matin et eut envie de la frapper, en regardant son visage figé. N’allait-elle jamais montrer un sentiment autre qu’une légère contrariété ? Lentement, elle se défit de sa robe, qu’elle laissa tomber par terre. A côté du lit, un sac de sport éventré ferait l’affaire. Sa mère apparut alors qu’elle finissait de glisser sa trousse de toilette dans le sac. – Georgie ? – Fiches-moi la paix. Le ton est hargneux, et les larmes pointent dans la voix de la jeune fille. Elle se retourne, et dévisage sa mère. Elle ne lui ressemble pas, elle ne lui ressemble plus. Vêtue d’un jean trop large et d’un pull évasé, démaquillé, Georgie a l’air d’une petite fille perdue. – Je n’ai pas pu le faire. Tu es contente ? – Ravie, en effet. Le ton de Glenn est glacial, tandis qu’elle dévisage sa cadette qui fait ses bagages. Je peux savoir ce que tu es en train de faire ? – Je n’ai pas pu, parce qu’au dernier moment, alors qu’il me regardait, j’ai eu l’impression d’être toi. J’ai eu l’impression de te voir dans ses yeux. Elle crache son discours, butant sur les mots. C’est la dernière fois. C’est la dernière fois que je ne peux pas être ce que je veux être à cause de toi. Elle se redresse, et la mère et la fille se font face. Elles se regardent, vraiment, pour la première fois depuis longtemps. Le silence est palpable, malgré les grognements de Nicolas qui prépare son petit-déjeuner au rez-de-chaussée. Elles savent bien, toutes deux, qu’elles ont atteint le point de non-retour. L’une d’elle devra céder, ou finir brisée. Constance ne veut pas choisir. Elle fuit. – Tu n’es même pas majeure. Tu crois que tu peux partir comme ça ? – J’irais chez Sophie en attendant la rentrée, et je retournerais à la pension. Elle ajoute, dans une voix qui n’est plus qu’un souffle : je vais le faire, et tu ne me retiendras pas, parce que tu as gagné. C’est toi la plus forte. Georgie partit. Elle s’arrangea pour ne plus passer qu’un temps restreint auprès de sa famille, pendant les vacances. Quand elle eut atteint les dix-huit ans, elle cessa tout à fait de les voir, ne téléphonant à son père que de temps à autre. Puis vint un jour où, d’une voix lasse, il lui demanda de téléphoner à sa mère. Elle pleura pendant plusieurs heures. Dans le bras de fer qui opposait Glenn et sa progéniture, elle avait encore gagné, en gagnant à sa cause un mari qui avait pourtant longtemps été un refuge. De ce jour, Georgina Fitzgerald reprit son premier prénom, Constance, dont on l’avait délestée des années auparavant pour ne pas la confondre avec sa grand-mère. Quittant Washington pour la faculté de Columbia, elle abandonna rapidement l’université pour aller se perdre sur des chemins qui la laissaient rêveuse. Univers Bêta, New York City, année 2010 Elle souffla sur ses doigts gelés. Le climat rigoureux de la capitale économique la frappait à chaque fois qu’elle y revenait. Après six mois à Rome, passés sur des scènes de théâtre miteux, elle se sentait de retour à la maison, mais glacée. Elle composa hâtivement le code d’entrée du lourd panneau de fonte, avant de s’introduire dans le garage duplex qui lui servait de logement. Elle avait découvert ce petit ilot de bonheur trois ans auparavant, et revenait s’y réfugier à chaque fois que les Etats-Unis lui manquaient. Lui manquait surtout le sourire d’Harry et ses cheveux roux en pétard, et son amitié, enveloppante et réconfortante. Se défaisant de son manteau pour se glisser dans le costume de l’impérissable Chimène, elle entendit les cris de rage du metteur en scène français. Irascible et lunatique, il avait au moins l’avantage de faire jouer Constance, qui accumulait les rôles discrets, suffisamment pour lui permettre de vivre et d’aimer sa profession, au bas des annuaires de Broadway. Elle souffla, inspira par le ventre, et vida son esprit. – Enfin je me vois libre, et je puis sans contrainte, de mes vives douleurs te faire voir l’atteinte ... – On reprend ! C’est mou ! – Enfin, je me vois libre, et je puis sans contrainte, de mes vives douleurs … La lumière vacilla. Ça n’a rien d’étonnant, et Constance aurait continué, si à la fin de sa réplique, elle ne s’était retrouvée au milieu d’une autre scène, où un homme affublé d’oripeaux moyenâgeux semblait être en train de déclamer son amour à sa comparse. Elle fronça les sourcils. Hésitante, elle se retourna, et aperçut la silhouette hésitante du machiniste, qui regardait autour de lui, l’air perdu également. – Excusez-moi ? D’où vous sortez, miss ? Devant l’air interrogateur du comédien, Constance ne sut que répondre. A la panique qui l’envahit, à la douleur qui étreignit son ventre avec surprise, elle ne put rien opposer. Univers Alpha, New York City, année 2010 Plus tard, elle comprit qu’elle n’était pas la seule, ne serait jamais la seule à vivre ce cauchemar. Son caractère aventurier l’aida rapidement à prendre le dessus. L’inconnu, elle connaissait, elle qui avait déjà parcouru les toits du ciel, et qui avait crié sa rage à la source des fleuves péruviens. Pourtant ce New York, qui était chez elle et était pourtant si différent, brisant toute habitude. Elle se sentait seule. Elle avait déjà été l’étrangère, mais elle n’avait jamais été aussi peu désirée et si détestée. Les regards sur ce fichu bracelet, les gens qui s’écartaient dans les bars… Son monde si douillet et dont il lui restait tant à explorer, tout ça était maintenant une force hostile qui semblait vouloir la rejeter, comme l’eau courante rejette les corps magiques dans les légendes. Elle était un corps magique, auquel personne ne comprenait rien, et les autres comme elle semblaient malheureux. Cette haine, ce rejet, elle avait l’impression de les vivre comme jamais auparavant. Comme si elle avait jamais choisi de se retrouver dans ce stupide univers, alors que son petit monde était si confortable. Et ils semblaient ne jamais vouloir cesser de le lui faire payer. Constance se prépara à partir, encore. Elle avait envie de retrouver l’exaltation, plutôt que d’arpenter des rues qu’elle connaissait à la fois si bien et si mal. Elle avait envie de sentir battre son cœur pour de l’air pur, au lieu de s’attarder sur ce bracelet triste qui pendait au poignet, comme le signe irrémédiable d’une déchéance inévitable. Et puis, elle croisa l’autre. Cette fille, une autre elle-même, qui avait les mêmes expressions, le même visage, et qui lui paraissait si intime, si étrangère, la glaçait. Et pourtant, elle ne pouvait s’empêcher de la dévisager avec fascination. Elle avait devant elle la manifestation vivante de ce qu’elle aurait pu devenir. Et dans une silhouette qu’elle croyait tant connaître, elle retrouva un regard froid, dur, qu’elle n’avait que trop soutenu. Le cœur brisé, elle resta à New York, dévorée de curiosité et de tristesse envers cette autre elle-même qui était ce qu’elle n’avait pas voulu devenir, en pire.
Doppelgänger
PRÉNOM(S) & NOM; Constance Georgina Fitzgerald DATE & LIEU DE NAISSANCE; Washington, District of Columbia, le treize décembre ÂGE; 25 ans SEPT TRAITS DE CARACTÈRE; Froide, Charmeuse, Perdue, Ambitieuse, Déterminée, Passionnée, Passionnante … CITATION QUI LUI CONVIENT; « Deep inside your soul, there's a hole you don't want to see » SON HISTOIRE; – α Constance a eu une enfance heureuse, bien qu’étouffée par sa mère. Gâtée, choyée, elle a rapidement compris comme faire ce qu’elle voulait de ceux qui l’entouraient. – Elle n’a pas, contrairement à β Constance, choisi de s’exiler. Par goût du défi, elle est restée chez elle, et a mené la vie dure à sa mère. Elle est devenue froide, séductrice et charmeuse, jusqu’à ce que sa mère ne finisse par céder et se retirer dans sa résidence d’Aspen. Aujourd’hui, α Constance est passionnée, passionnante, et est de celles pour qui on abandonne tout. – α Constance a fait de brillantes études à Yale avant de se tourner vers le monde professionnel. Aujourd’hui, elle est journaliste, bien connue des New Yorkais pour être l’animatrice du journal télévisé du soir. – Elle est ambitieuse, torturée, et a un don pour s’embringuer dans des histoires d’amour qui finiront mal, et s’attacher passionnément le cœur de ses pauvres victimes. Elle a été fiancée, deux fois. RELATION AVEC VOTRE PERSONNAGE; Elles ne se sont vues que quelques fois, et se considèrent réciproquement comme ayant fait le meilleur choix possible … Autant dire qu'elles trouvent leur double un peu enquiquinant. α Constance a tout de suite vu l'avantage d'avoir un double, même si les gens soupçonnent son existence, et fait de son mieux pour cacher son mépris afin de s'assurer d'une alliée qui pourrait devenir utile. De son côté, β Constance est tellement perdue ici qu'elle éprouve une sorte de fascination morbide pour son double et apprécie beaucoup, beaucoup, de pouvoir s'appuyer sur quelqu'un, aussi détestable soit-il. INDICATIONS SUPPLÉMENTAIRES Barf, non.
Player
PSEUDO OU PRÉNOM; Tokatapee ÂGE & NIVEAU SCOLAIRE; 20 ans, en L3 :) COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM? C'est une longue histoire. D'amour, entre autres. ET POURQUOI VOUS ÊTRE INSCRIT? Parce que j'ai adoré le contexte, l'enthousiasme, le projet. Je devais arriver avec un autre personnage, mais suite à quelques complications, me voilà en inventé. COMMENTAIRES OU SUGGESTIONS; Merciii d'avoir fait un forum aussi chouette ! Dans le cas où mon personnage prenait une grande importance sur le forum et que je le quitte pour une raison ou une autre, j'accepte qu'il soit transformé par l'équipe administrative de Doppelgänger en personnage prédéfini. Ceci facilitera la situation pour les membres qui auront une relation avec mon personnage. Je vous dispense de crédit, vu que c'est pas trop trop brillant xD

Bienvenue

CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T 992964

J'aime beaucoup Teresa Palmer mais elle est trop douce pour α Constance, je dirais plutôt Kirsten Dunst. Elle est super jolie et ça lui va bien les deux facettes, je trouve. Elle convient aussi bien à la froide mais passionnante α Constance et à la β Constance un peu perdue.

Merci de ton conseil !

Après moultes hésitations, et avoir pesé le pour et le contre, et avoir rajouté encore une demi-douzaine de noms, j'ai effectivement choisi * roulement de tambours * Kirsten Dunst !

Donc, je crois que tout est fini. Evidemment, il reste probablement encore douze mille trucs à modifier, mais j'attends les réclamations des admins x)

Et mince, pas le temps de m'occuper de cette deuxième fiche et de cette Constance si alléchante CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T 838487

CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T 838487

Toutefois à première lecture, il me semble juste qu'il manque un brin d'enfance, et un brin de ce qu'elle pense de toute cette affaire de doppelgänger. C'est évoqué à la fin, mais dans le récit, et on ne sait pas bien ce qu'elle pense. Sinon le personnage me semble génial génial. CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T 437494

CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T 437494

Et – Je n’ai pas pu le faire. Tu es contente ? je n'ai jamais parfaitement saisi de quoi il s'agissait. Briser le coeur d'un garçon, c'est cela ?
Ca roxx comme entrée en matière CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T 686633

CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T 686633

Modifications effectuées, j'espère que c'est bon CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T 39410

Sinon, c'était bien de briser le coeur d'un garçon, mais vraiment méchamment. Et au-delà, c'était la question de choisir - ou non - de devenir une fille méchante, une garce manipulatrice qui utilise les gens et les rejette ensuite. Voili voilou ^^

Well well well, je trouve que Kirsten est bel et bien parfaite pour le rôle, cet air évaporé, doux, malin en même temps. Et qui pourrait par ailleurs sur certains shoots convenir parfaitement au double de Constance. Bref, bon choix

Par ailleurs, j'ai bien fait de passer en vitesse hier soir signaler cela, car aujourd'hui je ne trouve plus rien à redire J'aime beaucoup ce qu'on apprend sur Constance, j'aime beaucoup son histoire. Ton style est original je trouve, je ne saurais trop préciser pourquoi. Mêlé de petits détails précis et donc accrochants (Elle claqua la porte, faisant trembler les vitres. ou bien la coiffeuse en bois clair), et en même temps d'une grande fluidité générale. J'aime. Bref, ton style "avance" bien en fait, l'histoire se déroule avec aisance sous nos yeux, c'est extrêmement agréable. Histoire d'ailleurs parfaite, merci beaucoup du petit ajout sur l'enfance, j'ai particulièrement apprécié d'avoir quelques minces informations sur le père, et quelques autres détails sur ce frère.
Enfin, l'ajout sur le trouble des doubles est parfait. Simplement tu écris Constance se prépara à partir, encore. Je te rappelle qu'une bêta ne peut de toutes façons pas quitter son pays, hein. Et pas non plus téléphoner ailleurs (à part quelques minutes au Canada et au Mexique, grâce à une convention spéciale). Bref pour plus de détails sur les doubles, n'oublie pas de (re)lire ceci si tu le souhaites ! En tout cas j'adore la relation que tu as imaginé avec α Constance Je vois pas du tout ce qu'il y a de "pas trop brillant" là-dedans. Mais puisque tu ne nous donnes pas de crédit au cas où pour ton personnage, tu es obligée de rester à vie parmi nous

Et ta vie ici commence maintenant, TU ES VALIDÉE J'ai réfléchi, mais je pense t'ajouter au groupe I'm in hell, ton personnage semblant vouloir à tout prix retourner chez lui. Si toutefois tu pensais plus à It was written, contacte-moi !

I'm in hell me paraît super ^^

Merciii CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T 413907

(au fait, ton concours blanc, bien passé ?)

Citation :: Mais puisque tu ne nous donnes pas de crédit au cas où pour ton personnage, tu es obligée de rester à vie parmi nous

Ne parles pas trop vite, où je vais m'accrocher comme une huitre à son caillou et tu vas le regretter :P

β Constance Fitzgerald a écrit:: Merciii (au fait, ton concours blanc, bien passé ?)

CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T 121629

t'es un amour toi. Oui ça s'est beaucoup mieux passé que prévu, et vu le bien que ça fait quand ça s'arrête, on en referait presque volontiers (a)
Et reste parmi nous petite huître chérie enfin CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T 992964

D'ailleurs, n'hésite pas à ouvrir ta fiche de liens, commencer à rp, flooder.. le monde est à toi.

J'y cours

CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T 239467

CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T

CONSTANCE GEORGINA FITZGERALD ; Kirsten Dunst - T

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