DALTON FRANK ROWE Est né à Toronto, le 11 juillet Est âgé de 32 ans
Interview
D'où est-ce que vous venez? Vous aimez New York?
Je viens du Canada. En fait, j'ai toujours habité au Canada. Je suis né à Toronto, j'ai grandi à Toronto et je vis présentement à Toronto. C'est ma ville quoi, mon pays. Bon, je dois vous admettre que j'ai eu quelques fois envie de partir, mais pas vers les États-Unis. J'aurais plutôt été habiter en Angleterre, ou en France, ou même en Italie, même si je ne m'y connais pas du tout en italien. Je pourrais apprendre. Qu'est-ce que je pense de New-York ? La grosse pomme ? Bah, c'est une belle grande ville, c'est sûr, mais je n'y habiterais pas. La visiter, c'est assez pour moi. J'aimais New-York, plus maintenant. C'est ma prison, une gigantesque prison dans laquelle je peux bouger autant que je le veux. Je ne peux pas partir, même si je le voulais. Ma famille m'attend au Canada, je veux seulement la voir. Je suis donc sûr que vous comprenez ma haine vis-à-vis cette ville qui n'est pas la mienne.
Vous aimez bien les membres de votre famille?
En général, oui. J'aime ma mère, j'aime ma femme, j'aime mes deux enfants. Ah, vous avez remarqué un grand absent dans cette liste ? Mon père, vous dites ? Eh bien oui, c'est le seul membre de ma famille que je n'aime pas. Il se croyait le maître de la maison, celui qui pouvait faire tout ce qu'il voulait. Je le déteste. Même encore aujourd'hui, je ne lui parle pas. Mais à par lui, j'aime tout le monde. J'ai une très bonne relation avec ma mère comme avec ma femme et mes enfants. C'est sûr que quelques fois je dois utiliser un peu plus de discipline, mais je fais tout pour ne pas ressembler à mon père. Je ne veux pas avoir une mauvaise relation avec mes enfants, bien au contraire. Je veux qu'ils pensent que je suis le meilleur papa sur la planète, pas un tyran. Je suis toujours là pour eux comme je suis toujours là pour ma femme.
Gardez-vous un bon souvenir de votre enfance?
Mon enfance fût à 50 % difficile et à 50 % facile. Le 50 % qui fût difficile le fût seulement à cause de mon père, qui n'arrêtait pas de me crier après, de dire que je n'étais qu'un bon à rien puisque je n'étais pas nécessairement l'être le plus doué en mathématiques et que lui, bah, il était un génie dans cette matière. Comme vous avez sûrement deviné, mon père voulait déjà que je devienne exactement comme lui, ce que je ne voulais pas du tout. Moi, j'étais plus du genre créatif, imaginatif. J'aimais écrire des choses, créer des choses. Et ça, ma mère le savait. Le 50 % facile de mon enfance était les moments que je passais avec ma mère. Celle-ci était superbe, elle m'adorait. Là, vous vous dites sûrement que toutes les mères aiment leurs enfants. Mais la mienne, elle était différente. Elle ne voulait pas que je devienne quelqu'un de précis, elle me laissait aller. Elle avait confiance en moi, ce que mon père n'avait pas. Je l'aimais, elle l'aimait. J'ai toujours eu une excellente relation avec ma mère et encore aujourd'hui, je l'appelle chaque semaine pour lui glisser un petit mot. Malheureusement, depuis que les mondes se sont entrecroisés, je n'ai pas eu la chance de la revoir ni de lui reparler... En gros, j'ai eu une belle enfance, puisque mon père n'était pas souvent à la maison. Heureusement.
Et votre adolescence? On dit que c'est difficile...
Mon adolescence ressemble beaucoup à mon enfance, seulement, c'est à partir de mon adolescence que j'ai commencé à me forger une personnalité et à me rebeller contre mon père. Je commençais à en avoir marre qu'il me dise toujours quoi faire. Moi, je ne voulais pas devenir ce qu'il me demandait, loin de là. Je voulais écrire, je voulais devenir écrivain. J'avais déjà écrit plusieurs nouvelles plus ou moins bonnes, mais je n'avais jamais osé les montrer à quelqu'un sauf à ma mère. C'est elle qui - justement - me poussa à me lancer dans l'écriture. Mon père était - bien entendu - furieux, mais c'est à ce moment que je lui dis ma façon de penser. Je lui dis tout ce que je lui reprochais d'être, comme un mauvais père, trop imposant et qui essaie de faire des copies de lui-même avec son seul fils. J'étais content qu'il n'ait pas eu d'autres enfants, qu'il n'ait eu que moi. C'est à l'âge de dix-sept ans que je partis de la maison, au même moment où je réussis à publier quelques-unes de mes nouvelles. J'étais heureux. Puis quelques années plus tard, pendant une séance de dédicaces, je rencontrai ma future femme. Mais ça, c'est une autre histoire..
Vous travaillez ou pas? Pourquoi donc? Depuis quand?
Bien sûr que je travaille, je vous l'ai déjà dit non ? Enfin, je vais vous le répéter, puisque vous avez de l'air de ne pas l'avoir remarqué. Je suis écrivain et j'adore ça. C'est sûr que je travaille toute la journée devant mon ordinateur et qu'il y a des journées où je ne fais presque rien, mais j'adore ça. C'est le métier que j'ai toujours voulu faire. J'adore écrire, j'adore créer des personnages, des histoires. Pourquoi je fais cela ? Je viens de répondre à cette question. C'est ma vie l'écriture, je ne saurais pas quoi faire d'autres sinon. De plus, j'ai la meilleure attachée de presse pour les séances de dédicaces. Depuis quand je fais cela ? Eh bien, depuis toujours en fait. Déjà, quand j'étais qu'un enfant, je m'amusais à écrire des histoires incompréhensibles que seul moi comprenait. Mais déjà, je savais que je voulais continuer sur ce chemin. Je lisais beaucoup, aussi, ce qui m'aidait pour l'orthographe. C'est seulement à 17 ans que je réussis à publier quelques-unes de mes nouvelles, mes meilleures. Ce recueil ne connu pas un grand succès, malgré le fait que les critiques disaient que j'étais un auteur à surveiller. Ça n'a pas attiré le public, on dirait bien. Puis j'ai publié mon premier vrai roman récemment, celui pour lequel je suis à New-York présentement. Mais n'ayez crainte, j'ai publié plusieurs petits recueils au fil des années, pour me faire un nom. Présentement, j'écris mon deuxième roman. Enfin, dans mon monde, c'est mon deuxième roman...
Avez-vous un but précis dans la vie? Une aspiration?
Mon principal but dans la vie est d'être un bon père apprécié de ses enfants, tout simplement. Je ne veux pas être un tyran comme mon père. Ce que je veux dans la vie est une belle famille, liée par de bons liens. Je ne veux pas d'une famille comme on peut en voir dans des show américains. Comme vous avez sûrement deviné, mes principaux buts dans la vie sont tous en rapports avec ma famille, très peu ont un lien avec mon métier. C'est sûr que j'aimerais bien remporter un prix, une fois dans ma vie, mais ce n'est pas ce qui est essentiel à mes yeux. J'aimerais aussi qu'après ma mort, je sois encore reconnu. Je ne veux pas tomber dans l'oubli. Mais mon but principal, pour le moment, est de retourner au Canada, revoir ma famille. Seulement, je ne peux pas. Je m'inquiète pour eux, je veux les voir. J'en ai assez. Je ne peux pas rester ici, à ne rien faire. Il faut que je trouve un moyen d'aller les voir.
Que pensez-vous de cette histoire d'univers parallèles?
C'est n'importe quoi. Non, mais, comment avons pu faire pour coexister à côté d'eux pendant un si grand nombre d'années ? Pourquoi personne n'a planifié cette rencontre ? Avec tout nos progrès scientifiques, quelqu'un a bien pu découvrir que nous allions un jour foncer tout droit dans un autre monde et que ceux-ci allaient se mélanger pour en former plus qu'un. Pourquoi cette personne ne l'a pas dit ? J'aurais pu, de cette façon, rester au Canada, ne pas quitter mon pays natif. Je serais avec ma famille et non dans une ville qui m'est presque inconnue avec comme appartement une chambre d'hôtel (plus maintenant, Dakota ayant trouvé un appartement que nous pourrions partager). Pour moi, cette histoire d'univers parallèles n'est que de la merde, désolé du mot. Je n'aurais jamais voulu que cela se passe, bien au contraire. Ce n'est qu'à mes yeux de la science-fiction, même si ça s'est passé. Je ne pourrais jamais admettre que cet événement a eu lieu. Justement, dans l'une de mes nouvelles, j'avais parlé de mondes parallèles. Et la fin n'était pas très belle pour ceux qui venaient de l'autre monde. Peut-être que le gouvernement va nous enfermer dans des camps de concentrations et va nous tuer. Peut-être que nouveau génocide s'annonce. Nous ne savons jamais ce qui peut se passer, personne ne peut prédire l'avenir.
Non, je ne l'ai pas rencontré, je ne peux donc pas vous dire comment il est. Seulement, je ne veux pas le rencontrer, tout simplement. J'ai peur de la confrontation. Je ne veux pas le voir, tout simplement. Je ne veux pas savoir comment il est, quel est son métier, etc. Je ne veux rien savoir sur lui. Il est mon pire cauchemar. Je me suis fait plusieurs scénarios, si un jour je tombais sur lui par hasard. Dans la plupart de ces courtes histoires, ça ne finit pas très bien et je sais très bien que dans la réalité, ça risque de faire la même chose. C'est pourquoi je ne veux pas le voir, j'ai trop peur de ce qu'il pourrait être.
Doppelgänger
PRÉNOM(S) & NOM; Dalton Frank Rowe, comme moi. DATE & LIEU DE NAISSANCE; Toronto, le 11 juillet. ÂGE; Il a 32 ans, tout comme moi. SEPT TRAITS DE CARACTÈRE; Solitaire – Intelligent – Charismatique – Ancien Mythomane – Droit – Charmeur - Calme CITATION QUI LUI CONVIENT; « There is nothing like a dream to create the future. » Victor Hugo SON HISTOIRE;
Spoiler:
— Pour les petits garçons, la figure paternelle est toujours quelque chose d'important. Puis il y a ceux pour qui cette figure-là devient non seulement importante mais véritablement vitale. Ce fut le cas de Dalton, qui vécut jusqu'à ses vingt ans dans l'ombre de son père. — Pourtant il avait de quoi plaire, étant particulièrement intelligent, et courtois. L'adolescence lui a plutôt d'ailleurs souri. Mais c'est étrange : c'est comme si Dalton avait toujours joué un personnage. Celui qui réussissait, celui qui plaisait, à son père comme aux filles. Un personnage dans lequel il se fondait assez bien, d'ailleurs. Jusqu'à ne plus sentir qu'il n'entreprenait pas grand chose par lui-même. — Physique, avait dit son père ? Ce serait donc physique. Physique par la voie royale, même, puisque la NASA allait lui ouvrir ses portes. Seulement lorsqu'il y décrocha une place, son mère mourut d'un cancer. Dalton était plus désemparé que jamais. Par respect pour la mémoire de son père, il entra à la NASA. Et maintenant ? — Dalton petit à petit sort du personnage qui l'a occupé tout le temps de son enfance, puis de son adolescence. Et cela peut surprendre : le jeune homme bien élevé, le physicien réputé, peut soudain partir à la mer le temps d'un week-end. Des accès de désir, de folie légère lui apportent le bonheur singulier qu'il n'a jamais vraiment possédé. Solitaire, il est néanmoins apprécié de son entourage, qui aime à le considérer comme n'étant pas encore sorti de sa carapace. Fait par la personne qui a fait le prédéfini de Dalton alpha. Merci à elle °°
RELATION AVEC VOTRE PERSONNAGE; Je ne l'ai jamais rencontré, il est donc plutôt difficile de dire la relation que j'ai avec lui. Je vais donc me répéter en disant que je ne veux pas le rencontrer, que j'ai peur du jour où on va se voir – puisque je suis assuré que ce jour viendra. Nous sommes sûrement très différents l'un de l'autre, ce qui me donne encore moins le goût de le voir. Je ne l'aime déjà pas. INDICATIONS SUPPLÉMENTAIRES Aucune, je vous laisse faire quoi. De plus, puisque ce perso est un prédéfini, ce n'est pas moi qui est tout inventé, je préfère le dire. Je remercie donc la personne qui l'a créée, l'un des admins.
Player
PSEUDO OU PRÉNOM; Appelez moi Nevermore. Si vous êtes gentil, je vais vous dire le prénom /*SBLAFF*/ ÂGE & NIVEAU SCOLAIRE; 16 ans & Quatrième secondaire (qc) COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM? Bah, comme environ tout le monde ; le sujet sur bazzart. Je n'ai pas posté dans celui-ci, mais je le suivais religieusement. ET POURQUOI VOUS ÊTRE INSCRIT? Bah, tout est superbe. Le design, le contexte, l'idée derrière le contexte, l'originalité du forum, les postes-vacants, etc. En fait, c'est le premier forum sur lequel je prends un poste-vacant °° COMMENTAIRES OU SUGGESTIONS; À une prochaine fois sur le forum !
Dans le cas où mon personnage prenait une grande importance sur le forum et que je le quitte pour une raison ou une autre, j'accepte qu'il soit transformé par l'équipe administrative de Doppelgänger en personnage prédéfini. Ceci facilitera la situation pour les membres qui auront une relation avec mon personnage.
Les crédits seraient alors adressés à vous, puisque c'est un personnage vacant... mais sinon, à nevermore.
Dernière édition par β Dalton F. Rowe le Mar 1 Mar - 18:16, édité 17 fois
β Dalton F. Rowe
Messages postés : 50 Date d'inscription : 24/02/2011 Ou habitez vous ? : ... au Canada. Job du personnage : écrivain.
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Sujet: Re: DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T Jeu 24 Fév - 20:12
Proof
Je n'avais pas vécu en appartement depuis – quoi – l'âge de vingt ans ? Quand j'avais quitté la demeure familiale, je me souviens très bien que j'avais loué un appartement plutôt modeste dans un quartier de Toronto et que j'y vivais seul. Je préférais être seul que de partager mon appartement avec quelqu'un d'autre. Pourtant, ce n'était pas les amis qui manquaient, j'aurais pu vivre avec une multitude de personnes, mais je préférais rester seul. Pourquoi ? Bof... parce que j'aime la tranquillité, sûrement. Sauf avec ma femme et mes enfants, j'ai toujours été seul, toute ma vie... mais pourquoi je parle de ça au juste ? Ah oui, sûrement parce que comme vous le savez si bien, je vis désormais dans un appartement. Je suis retourné dans le passé, si je peux dire cela ainsi. Seulement, cette fois, je ne suis plus seul. Et non, je partage mon appartement avec Dakota, mon attachée de presse... et non, je n'ai aucune pensée malsaine. Vous osez penser cela de moi, vous me chagriner. Je suis un homme marié, ne l'oubliez pas. Et de plus, elle est trop jeune pour moi et elle ne pense pas cela de moi. Non, Dakota est une fille charmante, mais elle a sa vie, comme moi j'ai la mienne. Donc bon, arrêtons de parler de cela, voulez-vous ? Ça me gêne et je ne veux pas dire de choses que je regretterais. Les mots ont tendances à sortir bizarrement de ma bouche. C'est pour ça que j'écris, pour ne pas parler. Quand j'écris, je peux dire ce que je pense sans que ça paraisse abstrait et incompréhensible. Quand j'écris, tout est clair. Si vous avez déjà lu l'une de mes œuvres, vous allez comprendre. Sinon, bah, allez vite à la librairie de votre quartier !
Cessons le bavardage et commençons à parler des vrais choses, de cette soirée qui commença comme toutes les autres. Dakota préparait le repas. Pas que je lui ai demandé, mais elle adore cuisiner. Je crois que c'est l'une de ces passions. Ou sinon, c'est seulement parce qu'elle ne veut pas que je cuisine. Elle croit peut-être que je suis un mauvais cuisinier, que la nourriture que je fais est mauvaise. Bon, on s'en fiche. Ça me laisse le temps de travailler. J'étais assis devant mon ordinateur, allumé sur un document texte. Comme vous le savez très bien, j'étais en train d'écrire mon deuxième roman et j'étais déjà rendu au quatrième chapitre. Seulement, là, j'ai eu un blocage. Et oui, syndrome de la page blanche. Depuis que les mondes se sont mélangés, j'ai de la difficulté à écrire des histoires qui ont du sens. C'est pourquoi je passe mes journées à écouter de la musique et à tourner sur ma chaise d'ordinateur, en cherche d'inspiration. À ce moment-là, j'écoutais du Radiohead. J'écoutais The Bends, pour être précis... Non, pas la chanson, mais l'album sur lequel la chanson est. J'aime bien écouter de la musique avant d'écrire. En fait, la musique, c'est l'une de mes nombreuses passions. Vous savez, je joue très bien de la guitare, j'aurais très bien pu continuer dans une carrière musicale et devenir une rock-star. Mais non, j'ai préféré devenir un écrivain. Malgré tout, j'ai un groupe... enfin, j'avais un groupe. Encore une fois, depuis la fusion des deux mondes, nous nous voyons plus. La raison est fort simple ; ils habitent au Canada. Sinon, qu'est-ce que j'aime faire pour m'inspirer ? J'aime bien lire un bon roman, je n'ai pas de préférences. Je dois tout de même vous admettre que j'admire le travail de George Orwell, qui est selon moi l'un des auteurs le plus génial que cette Terre a connue. J'aime aussi regarder un film. Quel genre en particulier ? J'aime bien les western, du genre western-spaghetti. Sergio Leone, c'est le maître ! Je divague, je divague.
Après quelques minutes dans lesquelles je ne fis rien du tout, on sonna à la porte. Première réflexion ; quelqu'un savait que nous étions ici. Réponse à la première réflexion ; c'était tout à fait normal, Dakota sortait souvent de l'appartement. Deuxième réflexion ; qui cela pouvait-il bien être ? Je ne connaissais personne, peut-être était-ce une des nouvelles connaissances de ma charmante attachée de presse. Réponse à la deuxième réflexion ; la seule façon de le savoir est d'aller répondre à la porte, puisque Dakota était présentement occupée à préparer le repas et que je savais très bien qu'elle n'allait pas y aller. « J'y vais ! » Je me levais de mon trône - rapidement - puis je m'en allais tout aussi rapidement vers la porte. J'ouvre la porte. Je me retrouve devant une jeune femme au regard perdu et un peu fou. Qui était-elle ? Plutôt jeune - environ l'âge à Dakota - cheveux châtains, yeux verts, assez jolie... le genre de fille qui d'habitude ne me traîne pas autour et qui préfère aller dans des boîtes au lieu de cogner chez des inconnus. Elle pris la parole, sa voix était tout aussi folle et perdue que ses yeux. Elle me dit - en gros - que le propriétaire de son appartement venait tout juste de la mettre à la porte, sans rien ni personne. C'était une bêta et - un peu comme moi - elle n'avait pas encore trouvée tous ceux qu'elle connaissait. Elle nous demandait de l'aide. Mais qu'est-ce que je pouvais bien faire ? Dire oui ou dire non ? Je ne peux pas dire « oui », c'est trop risqué. Peut-être que cette jeune femme si charmante est une voleuse ou un truc du genre. Et si je disais non et qu'en fait, cette jeune femme avait vraiment besoin d'aide, de quoi j'aurais l'air ? Ce genre de décision n'avait jamais été mon fort. Avant, c'était toujours ma femme qui les prenaient. Je déteste prendre des décisions. Mais je ne pouvais pas appeler Dakota, trop occupée. Alors, qu'est-ce que je pouvais bien dire ?
« On serait peut-être mieux de parler à l'intérieur, non ? » Je lui fis signe de rentrer, puis je lui indiquais la table, où on pourrait s'asseoir. Dakota continuait de préparer le repas, ne jetant qu'une brève coup d'oeil à la nouvelle arrivée. Peut-être pensait-elle que c'était une connaissance que je m'étais fait depuis notre arrivée. Je m'assis à la table, face à la jeune femme dont je ne savais point le nom. Mais, était-ce vraiment nécessaire de le savoir ? En fait, est-ce vraiment nécessaire d'avoir des noms ? Bon, c'est sûr qu'au fil du temps, ce serait plutôt mélangeant, mais, dans un roman, ce n'est pas nécessaire d'avoir un prénom ! Et oui, j'ai déjà écrit une nouvelle sans qu'on connaisse le nom des personnages principaux. Pourtant, j'écrivais à la troisième personne. Après s'être confortablement installé, je fixais mon regard dans le sien. Elle le fuyait. Pourquoi ? Qu'est-ce qu'elle se préparait à faire ? Je pris la parole. « Qu'est-ce que tu attends de moi, au juste ? » Je me permettais de la tutoyer, puisqu'elle était plus jeune. J'attendis sa réponse pendant quelques minutes, sans qu'elle n'ouvre la bouche une seule fois. « Tu sais, si tu veux que je t'aide, il faudrait peut-être que tu me parles... » Encore une fois, aucune réponse. Pourquoi j'étais tombé sur elle ? Pourquoi est-ce qu'elle avait cogné à MA porte et non celle de mon voisin ? Je savais qu'elle pouvait parler, je l'avais entendu ! Qu'est-ce que je devais faire ? Lui demander poliment de partir ou l'inviter à manger avec Dakota et moi ? La réponse me vint instantanément. « Tu peux manger en notre compagnie, si tu le souhaites. Je te permets même de dormir ici. Tu n'auras qu'à prendre mon lit, je vais dormir sur le canapé. Ça te va ? » On m'avait toujours dit que j'étais trop gentil et naïf. Je dois admettre que ceux qui disent cela de moi ont raison. Mais je suis comme ça, qu'est-ce que je peux y faire ?
Dernière édition par β Dalton F. Rowe le Lun 28 Fév - 16:59, édité 3 fois
β Érasme Amiel
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Sujet: Re: DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T Ven 25 Fév - 5:02
Oh la musique La première et puis Beatlesforever. Bref, BIENVENUE PARMI NOUS Une canadienne, c'est Violet qui serait/sera consciente. Tu réalises que le forum est accordé à ton heure à toi hein ? (a) C'est un immense privilège non mais oh Sinon, je suis ultra ravie de voir Dalton pris, je l'aime beaucoup de petit. Bonne chance avec lui & n'hésite pas si tu as des questions ! D'ailleurs en attendant l'inspiration, n'oublie pas de passer ici !
β Dalton F. Rowe
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Sujet: Re: DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T Ven 25 Fév - 18:52
Pour moi - personnellement parlant - la musique est très importante dans ma vie, donc j'aime bien mettre des chansons un peu partout xD Enfin, merci à toi et oui, je n'hésiterais pas à poser des questions si j'en ai ! d'ailleurs, je ne me gène pas de les poser, comme tu as pu le remarquer
β Érasme Amiel
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Sujet: Re: DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T Dim 27 Fév - 8:40
OOOOH. Je viens seulement de voir ton mp je suis absolument désolée. Je te réponds ici, si jamais ça peut servir à d'autres, allez x) Au niveau du caractère, il y a effectivement une erreur dans ton PV, et j'en suis désolé. Toutefois je le craignais et l'avais précisé quelque part ici. Donc tu peux soit faire à ta guise, soit m'envoyer un mp (que je lirai plus vite cette fois (a)) et j'en invente. Pour la relation avec ton personnage, tu as raison tu peux n'en écrire aucune. Toutefois, tu peux par exemple raconter ce que ton Dalton pense. (du style est-ce qu'il a peur de se retrouver face à son double, est-ce qu'il est curieux, etc.) Ca vous donnera des pistes, quand un Dalton bêta se présentera, pour élaborer un lien, héhé. Encore désolé de ce petite retard pour tes questions et bon courage
β Dalton F. Rowe
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Sujet: Re: DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T Dim 27 Fév - 16:39
Merci pour ta réponse, elle m'a été bien utile Sinon, il ne me reste plus que mon test rp et ensuite, j'ai terminé
β Érasme Amiel
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Sujet: Re: DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T Lun 28 Fév - 12:12
Eh bien mais ce sont de parfaites réponses que voilà ! Et qui me semble correspondre parfaitement au PV du Dalton (créé par Violet d'ailleurs si tu veux tout savoir. Parce que quand même, le premier pv de toute une vie, ça se fête, non mais oh). Bref j'aime beaucoup Ni étourderies ni fautes d'orthographes.. Simplement deux du moins, que je relève juste pour te l'indiquer, si jamais tu ne le savais pas : De un, J'étais content qu'il n'aille n'ait pas eu d'autres enfants, qu'il n'aille n'ait eu que moi. Et de deux, malgré que les critiques disaient que j'étais un auteur à surveiller.. ben ça se dit pas ça. "Malgré que" est faux. Tu peux simple dire "bien que les critiques" ou alors "malgré le fait que les critiques". Voili voilou (: Bref ce sont des détails, mais tout ce que tu as écrit colle parfaitement alors ! L'écriture. Ses parents. Sa famille. Ses parents. Sa famille. L'écriture. Bon tu ne parles que de ça, mais en même temps c'est ce qui consistue sa vie hein (a) Simple puisqu'il va y avoir un test rp, pense à évoquer d'autres choses, des détails qu'il aime, qu'il n'aime pas, développer des traits de caractère peu présents dans les réponses de l'interview .. bref à inventer. Parce que oui, tu mérites le test rp. Et en voici un tout prêt tout chaud :
Tu es tranquillement chez toi, enfin dans ce petit appartement que tu partages avec Dakota, quand on sonne à ta porte. Dakota ayant les mains dans la confection d'un repas (non tu n'es pas macho, mais puisqu'elle a insisté, hein (a)), tu te lèves pour ouvrir. Tu découvres une jeune femme qui a l'air perdue, qui t'explique qu'elle est une bêta, que le propriétaire de son appartement (dans le même immeuble que toi) vient de la mettre à la porte, qu'elle ne sait pas quoi faire et où aller parce qu'elle n'a pas encore retrouvé tous ses amis ici et qu'elle ne connaît pas grand monde.. Elle essaie de jouer la séduction pour t'appâter et semble en même temps complètement perdue. La suite est entre tes mains.
Je te rappelle donc que c'est un test rp : il s'agit bien d'un texte où tu ne contrôles que ton personnage. Et tu peux évidemment écrire à la personne que tu souhaites.
β Dalton F. Rowe
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Sujet: Re: DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T Lun 28 Fév - 15:30
J'ai été corrigé ces quelques petites étourderies, merci à toi pour me les avoir signalées Sinon, si j'ai beaucoup parlé de ses parents, de sa famille, de son écriture, c'est tout à fait normal, c'est sa vie quoi xD Mais bien sûr, il aime d'autres choses, seulement, je ne savais pas très bien où les caser dans mes réponses. Et c'est pour cela que le test rp existe, non ? Justement - pour celui-ci - je vais le faire bientôt, peut-être même ce soir, je ne le sais pas. Je sais seulement que vous allez bientôt le voir xD
β Érasme Amiel
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Sujet: Re: DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T Lun 28 Fév - 15:35
Tu as tout à fait raison, je te le rappelais juste au cas où. Puis histoire de ne pas dire que tout était parfait hein, quoi, non plus Non je plaisante c'était simplement pour t'aiguiller dans le test rp, mais si tu l'avais en tête c'est très bien. Tu changeras le C en T quand ce sera fait et je suis curieuse de lire ça
β Dalton F. Rowe
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Sujet: Re: DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T Lun 28 Fév - 17:02
Bon, bah, je crois avoir terminé xDC'est sûr que - d'une certaine façon - en disant que l'autre ne répond pas, je la fais jouer, mais au moins, je ne la fais pas parler xD Il n'y a pas beaucoup d'actions, mais je ne savais pas quoi rajouter pour en mettre un peu plus °° J'espère que tu vous allez aimer quand même
β Érasme Amiel
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Sujet: Re: DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T Mar 1 Mar - 10:05
edit : ouuuuups désolée pour le pavé x)
Alors alors (: J'ai jeté de nouveau un coup d'oeil sur l'interview, c'est parfait. Je me suis délectée du test rp, car dans son fond, je l'aime beaucoup. Toutes les actions du personnage concordent avec ce que j'avais pu déjà deviner de lui, et tout est parfaitement cohérent. En plus tu es bien dans le contexte, avec la petite anecdote du fait qu'il écrit moins bien désormais, avec toutes ces histoires.. Bref, tu as non seulement parfaitement saisi le personnage, ce dont je suis assez admirative en soi (oui moi je ne réussis jamais à rien avec un personnage vacant ), mais en plus tu te fonds parfaitement dans le contexte et ne le rejette pas, c'est nickel. Voilà pour le fond du rp, sur lequel je ne trouve rien à dire. Par contre, je sais bien que c'est de ma faute, que j'ai du t'embrouiller avec mes histoires de "on en saura plus sur le personnage dans le test rp" mais je trouve que pour un rp, il ressemble franchement à une anecdote de fiche ! Les mille petits détails et quasiment flash-back qui n'ont pas grand chose à voir, l'adresse au lecteur qui est finalement assez rare en rp, la contextualisation énormissime.. Est-ce que tu ferais vraiment cela en rp ? Je me doute, comme je l'ai dit, que c'est notamment à cause de mes indications antérieures et peut-être à cause du sujet. Toutefois, je pense que dans un rp, il y aurait moins de généralités de ce type, et à la limite (plus d'actions certes mais ce n'est pas obligatoire après tout, pas de souci là-dessus), plus de réflexion sur le moment. Du style qu'est-ce que ça te fait qu'une fille comme ça essaie de te séduire à moitié pour entrer dans ta maison, ce à quoi elle te fait penser, ce que tu penses d'une fille comme elle, ou des bêta.. Bref, des trucs sur le moment quoi. Les deux premiers paragraphes, je les ai adorés et j'ai bien senti que c'était ce que j'avais demandé, donc c'est pour ça que je peux trop rien dire mais c'est peut-être un peu too much pour un rp non ? En plus, rien que les deux derniers dépassent la limite des 600mots, donc ils auraient suffi en soi. Bref, encore une fois, parce que je crains que ce ne soit à cause de mes conseils, je n'en tiendrai pas compte, mais je le signale tout de même. (et comme ça j'apprends en même temps que toi, pour une prochaine fois )
Un détail au niveau de l'orthographe : tu ne fais aucune faute. (alors pourquoi est-ce que je viens te parler d'orthographe hein, si ce n'est pour le plaisir de faire un compliment ?) Non c'est qu'en fait, tu fais des étourderies. Moi aussi j'en fais, et d'ailleurs je me relis jamais parce que je déteste ça. Mais comme là je suis du bon côté de la barrière (héhé ), je te le fais juste remarquer.
Spoiler:
vous me chagriner Les mots ont tendances en cherche d'inspiration environ l'âge à Dakota On serait peut-être mieux de parler ne jetant qu'une brève coup d'oeil
Oh, et tant qu'on est dans le détail : Je sais bien qu'on écrit en français, mais j'ai toujours pensé que le jeu sur le tutoiement et le vouvoiement faisait un peu factice dans le rp, puisqu'en théorie nos personnages vivent à New-York et se disent donc "you" sans aucun scrupule. Je dis ça à propos de ton "Je me permettais de la tutoyer", voilà c'est tout.
Bon sinon, bien vu Ton personnage devrait avoir trente-deux ans. Si cela te gêne de le modifier, que tu fais une allergie à la trentaine ou que sais-je (a) on changera l'âge du PV puisqu'il est évident que les deux doubles doivent avoir le même âge. On est tous des grosses truites. Bon sinon, le personnage est parfait. Moi je le trouvais un peu cliché, le PV du père de famille et j'aime vraiment ce que tu en as fait. Le côté spontané, les petites réflexions sympathiques qu'il se fait à lui-même, tout ça tout ça, j'adore. D'autant qu'on a rarement des personnages de cet acabit, alors vraiment chapeau bas. Reste sur ta lancée, parce que au cas où tu ne l'aies pas déjà deviné... je te valide avec Dalton !
Tout commence : tu peux polluer les fiches des autres avec entrain, ouvrir ta fiche de relations, créer des scénarios ou embêter les gens qui n'ont rien à faire (pas moi. je précise au cas où. *boutade*), bref, en fait tu es désormais ici chez toi et bienvenue officiellement, premier homme de Doppelganger
β Dalton F. Rowe
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Sujet: Re: DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T Mar 1 Mar - 18:19
J'me disais aussi pour l'âge xD Enfin, non, je ne fais pas cela d'habitude. Ce n'est pas mon genre d'écrire des pavés qui n'ont rien à voir avec l'action principale. Sinon, merci pour la validation Premier homme de Doppel ? Eh bien, je vais me comporter comme tel
Ce PV était fait pour moi. C'est la première fois que je prends un poste-vacant, j'ai toujours préféré inventer mes propres personnages. Mais celui-là, je l'adorais **
➜ FONDATRICEα Dallas J. Spooner
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Sujet: Re: DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T Mar 1 Mar - 18:23
+1 pour le tutoiement. On évite ça, puisque, en théorie, ici on parle tous anglais.
Sinon, j'aime beaucoup ta fiche et le personnage que tu as choisi. J'ai hâte de te croiser, éventuellement, en RP'. Genre le jour où j'aurai du temps à mettre sur ma fiche (soit après ce week-end).
β Dalton F. Rowe
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Sujet: Re: DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T Mar 1 Mar - 18:50
Je n'avais pas pensé à cela en écrivant, malheureusement xD Sinon, je suis heureux d'apprendre que ma fiche plait à la Fondatrice (et oui, « Fondatrice », avec un grand « F » )
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Sujet: Re: DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T
DALTON FRANK ROWE; Michael C. Hall « Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé. » - T