Opale Felicity Yoxall
Est née à Boston, le 02 mars
Est âgée de 24 ans

Je suis...
Discrète
Fière
Rapide
Subtile
Susceptible
Solitaire
Douce

PRÉNOM(S) & NOM; Opale Felicity Yoxall
DATE & LIEU DE NAISSANCE; 04 mars & Boston
ÂGE; 24ans
SEPT TRAITS DE CARACTÈRE; Aventurière, Téméraire, Égoïste, Heureuse, Épanouie, Indisciplinée, Sociale
CITATION QUI LUI CONVIENT; «It always seems impossible until its done.» Nelson Mandela
SON HISTOIRE;
— L'enfance de β Opale est assez libre, mais il faut savoir qu'elle a deux frères, Olivier et Océan, ainsi qu'une petite soeur, Olympe. Elle a sûrement vécu une enfance heureuse, mais c'est à vous de voir (:
— Durant l'adolescence, β Opale a un cercle d'amis très élargi, mais rêve tout de même de liberté, de découvrir le monde.
— À l'âge de 21 ans, β Opale décide de quitter le foyer familial de Boston pour aller explorer le monde: elle s'est trouvée un job d'hôtesse de l'air. Rendue à l'aréoport pour son entretien, elle décida, sur un coup de tête, de s'enfuir à New York. Là-bas, elle se crée une nouvelle vie, tentant d'oublier sa vie à Boston.
— Maintenant, à l'âge de 24 ans, β Opale est heureuse et comblée, voire même épanouie: elle attend un enfant. Ce petit devrait bientôt voir le jour, dans un tout nouveau monde où même sa mère se sent dépassée, croyant vivre un enfer. Elle toujours avec le père de l'enfant, donc à vous de voir qui il est, et qui il sera (:
RELATION AVEC VOTRE PERSONNAGE; Dès que α Opale vit sont double, elle su immédiatement qu'elles ne s'entenderaient pas: β Opale était tout ce qu'elle n'était pas; aventurière, épanouie, heureuse, en d'autres termes. Celle-ci avait fui la vie que α Opale avait prévilégier, une vie qu'elle croyait être la meilleure pour elle. Mais il semblerait que la vie de son double était mieux que la sienne. Voir cela fit réaliser à α Opale que sa vie aurait pu être différente, ce qu'elle n'apprécie guère venant d'une parfaite inconnue, lui donnant l'impression d'être agressée, ce qu'elle n'acceptera jamais de rien ni personne.
INDICATIONS SUPPLÉMENTAIRES α Opale déteste totalement son double, trouvant que celle-ci vient perturber son petit ordre, vient lui démontrer que, bien que sans le vouloir, que sa vie n'est pas aussi réussie que ce qu'elle croyait. α Opaleainsi tout les doubles, totalement à cause de β Opale, ce qui doit lui créer, à elle, un certain malaise, probablement.

PSEUDO OU PRÉNOM; Cuutiie* ou Heidi
ÂGE & NIVEAU SCOLAIRE; 15ans, secondaire 4 ou Seconde (:
COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM? Sur Bazzart <3
ET POURQUOI VOUS ÊTRE INSCRIT? Parce que le contexte et le staff est tout simplement GÉ-NI-AL!
COMMENTAIRES OU SUGGESTIONS; Je vous aimes déjà <3

Dans le cas où mon personnage prenait une grande importance sur le forum et que je le quitte pour une raison ou une autre, j'accepte qu'il soit transformé par l'équipe administrative de Doppelgänger en personnage prédéfini. Ceci facilitera la situation pour les membres qui auront une relation avec mon personnage.

Les crédits seraient alors adressés à Cuutiie* avec un lien vers mon site web in-montreal-qc.forumactif.com .

Je n'ai jamais cru important de remercier mes parents pour la merveilleuse enfance que j'ai eu. C'est vrai, si j'y repense, j'ai été une enfant comblée, avec tout ce qu'elle désirait, et même deux grands frères et une petite soeur avec lesquels jouer. Mais j'en ai voulu plus, et voilà où j'en suis aujourd'hui.


«Born to be love»

Le 4 mars, il y a 24 années de ça, je vis le jour. Je crois que ce moment fût l'un des plus heureux pour mes parents, ravis de pouvoir ainsi donner encore la vie à un autre être humain. Certes, ils avaient déjà enfanté deux fois, mais le ravissement d'une troisième petite vie devait être génial.

J'ai eu une enfance très heureuse, entourée que j'étais par mes deux grands frères, Olivier et Océan, ainsi que ma petite soeur, Olympe, qui a quatre ans de moins que moi. Tous les jours, nous nous amusions ensemble, l'exemple même des enfants s'entendant à merveille, ce qui était totalement le cas, dans un sens.

Mais au fil des années, je commençai à m'éloigner, allant souvent me cacher au grenier, où enfin, je pouvais m'entendre penser, rêver. Même à cette époque là, je rêvais de m'envoler vers le ciel, de voler au grand air, ou simplement m'enfuir par un trou. Le chat, m'appelait ma mère. Elle avait totalement raison: la ruse était l'essence même de ma réussite à la fuite. J'arrivais, par ma douceur, à me faire accorder la paix par mes frères et ma soeur, et ils ne pouvaient plus me l'enlever; grâce à mes griffes, je la gardais auprès de moi, cette paix tant espérée.

Malgré mes absences régulières, j'obtins la satisfaction de voir mon caractère se solidifier au fil du temps, conséquence d'une exposition répétée aux blagues et autres conneries de mes frères aînés, toujours prêts à rigoler d'une situation assez marrante, qui ne l'était certes pas toujours pour moi ou Olympe, qui, ayant un caractère moins fort que le mien, se laissait plus souvent aller dans leurs pièges.

Tout de même, je les adore, mes frères. Ils sont souvent une source d'inspiration, pour moi, une porte de sortie qui ne disparaîtra jamais. Mais avec les choix que j'ai fait tout au long de ma vie, notre relation peut parfois être mitigée.

Sinon, ma relation avec Olympe est au beau fixe. Je l'adore, je la surprotège, surtout, lorsque je suis dans les parages, ce qui la dérange un peu, mais qu'elle semble pourtant apprécier.



«Where liberty is, there is my country ~ PART 1»

«Mais foutez moi la paix, à la fin!»

Sincèrement, je crois que c'est la phrase que j'ai le plus répété durant mon adolescence, mais surtout dans ma tête, trop polie et censée pour le dire à voix haute. Pour tout dire, je ne l'ai rendu facile à personne, même si j'ai et j'avais un caractère assez fixe, toujours simple et sans détour.

Comme je l'ai déjà dit, j'ai toujours rêvé de liberté, de pouvoir voyager, découvrir le monde, être un peu en paix avec moi-même. Avez-vous déjà essayé d'avoir un peu de calme, dans une maison où il y a au moins 6 personnes, sans compter les quelques animaux de compagnies? Impossible, vous dites? Exactement.

J'avais beau aimé ma famille plus que tout au monde, j'en ai souvent eu assez, répétant absence sur absence, prétextant aller à la bibliothèque, où j'étais, la majorité du temps. Comparativement à la maison, c'était le paradis, le silence y étant de mise. Je prenais le temps d'étudier en profondeur, récoltant ensuite trop souvent au goût de mes frères de bonnes notes, eux n'ayant pas aussi souvent cette chance.

Parfois, lorsque je n'avais plus rien à étudier, j'allais dans cette section des bibliothèques où sont regroupés atlas, guides de voyages et etc. J'allais y prendre un nouveau livre chaque fois, découvrant un nouvel endroit de mon univers, rêvant d'y aller un de ces jours, quand j'aurais enfin la chance d'y aller.

«Where liberty is, there is my country ~ PART 2»

Sweet 21, c'est comme ça que je les appelais, à l'adolescence, mes 21ans qui approchaient toujours plus, mon but ultime durant les crises trop souvent régulières auxquelles j'étais confrontée à la maison, parce que j'étais un membre à part de la famille, l'être pensant solitaire et autonome de cette grande fourmilière. Je n'y crois plus aujourd'hui, mais lorsque je n'avais pas le vécu que j'ai maintenant, c'était ma seule pensée que j'osais me répéter, persuadée que peut-être c'était la vérité, même si c'était tout autre.

Lorsqu'enfin j'eus mes 21ans, je me dénichai LE job de rêve pour une jeune femme en recherche de voyages et de liberté: hôtesse de l'air. J'en ai sauté de joie pendant des semaines, exaspérant mes parents, qui croyaient pouvoir me garder à la maison. Ils se trompaient tellement! Je crois que s'ils ne m'auraient pas demandé de rester, qu'ils m'auraient encouragée dans cette voie, je serais restée. Si vous ne l'aviez pas encore remarqué, le sens de la contradiction est trop souvent présent chez moi; personne ne doit me dire quoi faire, c'est comme ça.

Mon premier jour, j'arrivai vêtue d'un tailleur noir, mes chaussures noires étroites cirées qui brillaient et mon chignon, j'étais par-fai-te. Le premier vol de ma carrière fût long et pénible, je m'en aperçu à l'instant, mais tellement satisfaisant, que j'oubliai les aspects négatifs de ce job, ou du moins pour quelques temps; vous êtes un morceau de viande qui se balade dans l'allée et qui doit servir de souffre-douleur à tous les voyageurs de mauvaise humeur.


«Is your life like you wished it should be?»

Shangai, Londres, Madagascar, Tokyo, Venise, Punta Cana, j'en ai vu, des villes, des pays, des continents, des paysages si différents. J'en ai vu, des hommes en costard, des femmes en robes fleuris et des enfants pleurnichards. J'en ai vu de toutes les couleurs, et j'ai même pu entrevoir la liberté. Mais est-ce que je suis heureuse? Non. Certains soirs, assise dans un bar dans un pays où je ne connais rien ni personne, je désespère. Je sais très bien que j'aurais pu faire des choix différents, qui m'auraient amenée à une vie plus heureuse, ce que je n'ai pas. Et vous voulez savoir comment j'ai fait pour le savoir? Parce qu'elle me l'a démontré. Elle, c'est Opale, mon double. Ce double que je déteste profondément a mieux réussi que moi dans la vie; elle a fait des choix différents, est allée à des endroits différents, a rencontré des gens différents, et à eux une vie bien mieux que la mienne.

Lorsque je l'ai rencontrée, quelques semaines après la fusion de nos univers, elle était resplendissante, souriant à un homme charmant qui était avec elle. Opale avait même un petit bedon. Elle était carrément enceinte. Mon double était heureuse, ce que je n'ai pas été depuis 4ans, au moins. Elle est ce que je veux être, libre et heureuse. Je l'avoue, je suis jalouse d'elle, et je punis injustement tous les autres doubles à cause d'elle, mais c'est comme ça. C'est ma vie.


«You should know about Opale»

— Olivier, Océan, Opale & Olympe semblent probablement avoir des noms étranges pour toutes personnes en dehors de ma tête, donc voici l'explication de leurs prénoms: j'ai imaginé que la mère de ces enfants aimaient beaucoup le français, donc avait décidé de nommer chacun de ses enfants d'un élément de la nature commençant par o et ayant une consonance française: Olivier pour l'olivier, arbres cultivés pour son fruit, l'olive; Océan, pour la mer et tout ce qui si raccorde; Opale pour la pierre & finalement Olympe pour le mont Olympe, en Grèce, où les premiers jeux Olympiques ont été joués.
— Opale n'aurait, à priori, rien contre les Bêtas, grâce à sa nature douce et discrète, mais ce n'est pas le cas: elle a, à cause de son double, une haine féroce contre eux, par jalousie d'une seule personne. Je ne vous dirai pas qu'elle ne pourrait pas en apprécier quelques-uns, mais elle ne ferra ni l'effort pour les apprécier, ni ne lèvera le moindre petit doigt pour les aider. Opale ne croit pas que leur place est ici, que c'est encore plus malsain pour la planète qu'ils soient tous là. Ainsi, je ne dirai pas qu'elle les haïent tous tellement qu'elle souhaite à tous de mourir, mais c'est presque ça!
— Donc, si je vous résume ceci en quelques mots, ce serait: Opale déteste la présence des doubles, car elle ne croit pas en le bien fondé de leur présence sur sa planète, et de plus, elle ne se gènera pas pour en détester plusieurs s'ils se retrouvent sur son chemin.